l’Enseignement du Rayon Or

Humeur du moment

Atteindre l’Eveil est le but final de toute âme, la vôtre en particulier.

Il ne suffit pas d’expérimenter le chemin pour l’atteindre, il vous est demandé de le prendre, de le connaître et, en finalité, d’en intégrer les résultats. Pour cela, il est nécessaire que votre esprit soit d’accord. Il… suffit de le vouloir.

A travers sa maison d’édition « Barnett-Editebook », Bernard d’Oultremont, sous la haute direction de Jésus le Christ, vous montre la Voie.

Il vous explique comment et pourquoi vous pouvez y arriver vous, vous aussi; il vous en donne les outils.

Un livre parfait ?

Quel que soit le temps que vous mettiez à l’écriture de votre livre, à un moment donné, vous vous poserez ce type de question qui vous angoissera peut-être : Et si mon livre n’est pas parfait ?

La recherche de la perfection : humilité devant l’adversité.

Soyons clairs : peu décrivains réussissent l’oeuvre parfaite avec leur premier ouvrage. C’est la raison pour laquelle, les maisons d’édition mettent tout un système en route pour la correction de l’oeuvre d’un auteur, dont un suivi de l’élaboration de votre histoire et de son écriture, la relecture ortographique, un comité de lecteurs, etc …

Si vous corrigez vous-même 36 fois votre oeuvre ou cherchez pendant des jours, voire des mois, le mot parfait, il y a beaucoup de chances que vous ne le trouviez jamais et , dès lors, que votre oeuvre ne soit présentée à un éditeur. Sans doute, ne la terminerez-vous jamais…

Dans tous les cas : lancez-vous !

Beaucoup veulent écrire une histoire, que ce soient leurs mémoires, leurs aventures, leurs voyages ou tout aussi simplement, le produit de leur inspiration et de leur imagination. Cela peut être un besoin, une nécessité, un passe-temps, une envie irrésistible, une thérapie, …

N’écrivez pas comme vous parlez !

Dans tous les cas, vous commencez à écrire et puis … patatras, vous ne comprenez plus ce que vous écrivez car vos phrases sont trop alambiquées, manquent très sérieusement de ponctuation ou, encore, vous commettez trop de fautes, tant de grammaire que d’orthographe, à tel point que votre texte vous en est devenu incompréhensible. Pour cela, utilisez un système d’écriture bien à vous et, surtout, …

« Si ton lecteur doit ouvrir son dictionnaire pour te lire, tu le perds.« 

A moins que vous ne visiez le prix Goncourt, auquel cas je vous recommanderais une attention particulère aux phrases que vous écrivez : votre public est intellectuellemnt assez élevé et adore les mots compliqués .

Si vous désirez approcher un public plus large, utilisez un langage plus actuel. Après lui avoir envoyé mon premier thriller, un cousin me disait : « tu utilises des mots trop simples ». Un grand nombre de lecteurs, par contre, me complimentèrent : « ils n’arrivaient pas à fermer le livre et l’ont lu d’une traite ». Un de mes amis me dit un jour : « si ton lecteur doit ouvrir son dictionnaire pour te comprendre, tu le perds ». C’est exactement cela.

Préférez les phrases courtes : Sujet-Verbe-Complément

N’exagérons rien : vous n’êtes plus à l’école fondamentale : ne faites pas que des phrases extra courtes; n’écrivez pas, non plus, des phrases interminables, voire kafkaïennes.

Par contre, utilisez l’impératif, le mode interrogatif et les autres possibilités de la conjugaison comme le subjonctif pour créer vos effets !

Comme exprimé dans un article précédent, la ponctuation donne de la vie et de la couleur à votre histoire !!

Que comptez-vous raconter et comment ?

Par exemple, vous pourriez écrire votre biographie ou votre imaginaire sous plusieurs formes différentes :

  • une lettre
  • vos mémoires
  • une aventure ou vos récits de voyage
  • un thriller
  • un manuel ou un guide pratique comme tel que réparer, constuire, écrire (des livres),…
  • un atlas
  • une omélie
  • etc…

Pour vous donner une idée, Balzac utilisait les lettres pour son oeuvre magisrale « La comédie humaine ». Tout est possible : à vous de choisir.

Après les recherches et autres préparations, commencez à écrire

Vous commencez à écrire le premier paragraphe, puis le second et vous continuez jusqu’au moment où … vous ne trouvez pas le mot exact; celui qui peut le mieux exprimer votre pensée. Après 5 ou 10 minutes, toujours rien…

Ce n’est pas grave ! A la limite, vous mettez entre crochets : [le mot ou l’idée que je désire faire passer]. ET puis, vous continuez votre histoire. Peut-être que le soir-même ou le lendemain, voire quinze jours plus tard en vous relisant, vous le trouverez… ce meilleur mot.

En général, c’est en pratiquant une activité extérieure à votre travail d’écriture que vous trouvez la solution, soit en cuisinant, soit en pratiquant un sport, de la méditation, voire de la lecture ou en roulant en voiture. Personnellement, c’est en conduisant que m’arrivent la plupart des idées, car votre esprit est concentré sur la conduite et non sur le mot ou l’idée qui vous taraude.

Trois (3) et six (6) mois après avoir terminé, relisez votre livre

En préparant cet article cet après-midi, j’ai repris mon dernier roman.Celui de la bibliothèque, bien entendu. Il est sorti en librairie, il y a presque six mois. Je l’ouvre au milieu et, ô stupéfaction, je constate ce que je considère comme une énorme erreur d’accord grammaticale. Pourtant, les multiples correcteurs et lecteurs ne l’ont pas remarquée.

Dans le même état d’esprit qui m’anime, je me souviens d’une phrase dont je n’avais jamais été paticulièrement satisfait et je relis cette partie de chapître où, justement, ce « quelque chose » n’allait pas, mais …

C’est alors que le déclic eut lieu; je savais exactement ce que j’allais remplacer et, surtout, comment.

Comptez-vous attendre dix ans ?

Si j’avais attendu, lors de la premère écriture, de trouver les meilleurs mots, j’aurais perdu au moins six mois. Etant donné que cet extrait se trouve au milieu de l’ouvrage, je serais encore bien loin de le terminer.

Sérieusement ? Je préfère très nettement un livre qui n’est pas trop « top », niveau vocabulaire et/ou grammatical, voire stylistique mais passionnant _ la preuve en est que les correcteurs sont passés sur des fautes de conjugaison _ plus tôt que de chercher la perfection d’un mot ou d’une expression pendant dix ans et risquer que l’histoire ne soit jamais publiée.

Alors, qu’attendez-vous ?

Foncez sur votre clavier et libérez-vous, éclatez-vous … Amusez-vous !

Vivez une belle journée !!

Barnett

La trame de votre histoire

Imaginez le scénario avant d’écrire

Dans des articles précédents, je vous ai expliqué le mind map, ou la carte de l’esprit, l’échelle du temps et que vous devez très rapidement écrire la fin de votre histoire, afin de ne pas être obligé de tirer un lapin du chapeau pour la finale.

Dans les scénarios d’aventures, de thrillers ou quoi que ce soit de ce type là, il est important d’avoir le film de votre histoire dans votre tête. Pour être exact, je devrais parler de canevas.

Pourquoi ?

Au cours de votre rédaction, vous pourriez vous trouver dans une impasse ou face à un mur. Au départ dans « Katarzyna, l’amour te guide », l’objet du scénario était un virus mortel; cependant, à un salon du livre, le stand voisin au mien était occupé par un auteur ayant écrit une histoire autour de ce thème. Je me suis dit que ce n’était pas le bon plan. Par rapport à ce que je vivais à ce moment-là, l’idée nouvelle de mon histoire était née. Le mind map étant déjà réalisé aux trois quarts, il n’a pas fallu modifier beaucoup de choses et le scénario fut réécrit en un temps relativement court.

La programmation des chaînes TV, à Noël

Autre exemple : « Retour à Mont Tremblant pour Noël » est parti sur un principe similaire. Au début où je commençais à écrire, j’avais un grand nombre d’idées d’histoires vécues en tête, telles que « le 59 est au départ », « Bazar sur les routes de l’extrême », mais cela ne remplissait pas un livre. Comment les relier ? Nous étions à la fin du mois de novembre et beaucoup de chaînes de télévision programmaient des films relatant la magie de Noël. Une idée a germé dans ma tête et j’ai regardé plusieurs de ces téléfilms. Franchement, à quelques détails près, la trame est toujours la même : le (la) héros retourne dans son village natal et retrouve son « ex- » ou alors, c’est l’inverse : il (elle) quitte son patelin pour une raison précise et se rend dans la mégaville située à cent kilomètres ou de l’autre côté du pays…

Comme vous avez pu le remarquer, avec « Plan diabolique », combien mon romantisme est à couper le souffle, voire que vous en avez les jambes coupées, le film de mon histoire était né et, un mois et demie plus tard, le livre a été publié.

Des noms et prénoms simples

A moins que vous n’écriviez un roman émanant du monde fantastique, évitez de prendre des prénom et noms impossibles à prononcer. En ce qui me concerne, je me sers de ce qui arrive dans ma vie au moment où je suis dans l’écriture : il m’est arrivé de changer les prénoms d’un personnage en cours de route ou de prendre certains de mes diminutifs. Cela m’est arrivé, également, pour une voiture.

Des prénoms ou des noms de famille ne doivent dépasser les trois syllabes : Madame Bomplan, Monsieur Tartenpion sont plus facile à retenir que Madame Defceeguedov, à moins, bien entendu, que ce soit un jeu de mots : Monsieur Tourdebroche pour le boucher,…

Si vous désirez soumettre votre oeuvre dans les territoires où la langue de Shakespeare est d’application, utilisez des noms et prénoms répandus. PErsonnellement, j’ai été voir les nom les plus répandus au Canada pour mon histoire qui s’y réroule en partie.

Vos idées se trouvent à portée de main, voire de clavier.

Dans le dernier roman, j’avais imaginé la scène et, lorsque je suis arrivé au moment où le jeune homme s’est arrêté derrière la voiture accidentée, je me suis demandé quelle serait la voiture accidentée: du coup, j’ai pris celle de la fille de ma compagne par ce que, l’avant-veille du jour où j’ai écrit ce passage, elle est arrivée, avec son mari, dans cette voiture-là.

Le rythme de l’action

Bien entendu, si votre style est l’action, ne commencez pas à expliquer une nature lancinante, des arbres et des feuilles qui respirent la mélancolie ou la lascitude… Le caractère sombre et glacial d’un paysage ou d’une forêt, c’est bon pour un drame ou du fantastique.

A moins que vous ne le fassiez exprès et que votre but soit de commencer par une action lente, entrez directement dans le rythme que vous voulez lui imprimer. C’est le même principe au théâtre, lorsque vous entrez en scène : les premiers pas que vous faites en entrant sur scène installent le ton de votre articulation et l’intonation de votre voix…

A quel temps écrivez-vous ?

Voici bien une question « à 5 points » ! Même si vous maîtrisez relativement bien votre langue maternelle, pensez à vérifier l’utilisation des différents temps de conjugaison. Que ce soit, le présent, l’imparfait, le passé simple ou le futut simple, voir le plus que parfait, itous ces temps ont leurs raisons d’être. Dès lors, portez une attention particulière à leur bonne utilisation au bon moment.

Bon travail !

la Maison d’édition

Si écrire semble relativement facile, être édité l’est nettement moins. Certes, tout le monde peut écrire, tout et n’importe quoi. Mais, vous qui me lisez, vous vous dites probablement, « je ne suis pas doué pour cela », ou « je n’ai pas d’imagination ! » En réalité, ce n’est pas totalement vrai. Je conçois que certaines personnes ont beaucoup plus de facilités que d’autres. C’est logique et le contraire serait surprenant.. C’est pourquoi, nous vous guidons durant tout le processus et, en particulier, le choix de votre éditeur.

L’importance de votre script

Les éditeurs sont submergés par les envois de script. Ils doivent nécessairement faire un choix. Un peu comme le CV que vous envoyez à une patron potentiel, ne négligez pas cet aspect-ci.

Certains éditeurs reçoivent des documents écrits à la main, ou des documents, tapés à l’antique machine à écrire. La présentation est, en effet, très importante, dès lors, n’envoyez pas non plus des documents remplis de ratures, de corrections à la main et/ou, encore, d’annotations dans la marge. La plupart du temps, vos précieuses histoires rejoindront le classement vertical.

Bien choisir son éditeur

En ce qui concerne le choix de la maison d’édition, vous avez un très vaste choix. Toutefois, nous vous recommandons d’envoyer votre script vers celui qui correspond le mieux à ce que vous écrivez; par exemple, si votre créneau est le reportage photographique à travers vos voyages, n’envoyez pas votre travail à un éditeur spécialisé dans le fantastique ou le roman policier. Relevez toutes les maisons d’édition et consacrez le temps nécessaire à contrôler leurs spécialisations ou domaines de prédilections.

Cela vous permettra d’en cerner plusieurs qui correspondent à vos attentes.

Le compte d’auteur

D’autre part, méfiez-vous des contrats à compte d’auteur. Lisez-les bien car ils permettent, à ladite maison d’édition de se couvrir des frais d’impression en imprimant un nombre donné d’exemplaires et, vous vous retrouvez, alors avec huit cent exemplaires sur les bras et, dès lors, vous avez déjà dépensé une très grosse somme d’argent alors que vous n’avez pas encore gagné le premier centime sur votre labeur.

Chez Barnett-editebook, rien de tout cela : vous ne dépensez rien à l’avance et, si vous désirez des exemplaires pour les vendre dans votre propre circuit de vente ou pourvous-même, vous ne payez que les coûts de production.

« Katarzyna L’Amour te guide » est arrivé !!

Elle était annoncée, … elle est arrivée !

Qui ? Katarzyna, bien sûr …
Alors qu’il passe ses vacances avec sa famille à Biarritz, F-X Detilleux croise la route d’une jeune fille aux dons particuliers. Yuri Kanakolos, un puissant homme d’affaires d’origine gréco-russe, décide de la kidnapper par tous les moyens afin qu’elle exerce ses pouvoirs paranormaux à son profit …
Un terrible combat s’engage entre les deux hommes, mais va-t-elle rester les bras croisés et intervenir ou laisser faire et voir ?

Réalisme ? Surréalité ? Rêve ? … A vous de le découvrir …

Sur ce site, que ce soit pour la version papier ou numérique, vous pouvez le commander avec* ou sans dédicace.

(*) dans le cadre de la dédicace, veuillez me faire connaître le prénom pour lequel vous la désirez (il y aura juste un petit délai supplémentaire dans le cas de la version numérisée).

Concevez votre (vos) personnage(s) avec soin

Quand vous concevez votre  personnage principal,  pensez à ce dernier : mettez-vous dans sa peau. Pensez que vous êtes Lui.

Comment est-il physiquement ?  Que pense-t-il ?  Comment s’habille-t-il ?    A quoi s’intéresse-t-il ? Quels sont ses hobbies ? Comment réagit-il ?

C’est ce que vous disent tous les ateliers d’écriture.

En réalité, vous avez le choix de partiquer comme tel ou non. Dans le dernier cas, je vous invite à vous rendre à la fin de l’article : « Comment je crée mes personnages ? »; dans le premier cas, il n’y a qu’à suivre votre lecture…

Grâce à la carte euristique (le mindmap), établissez une fiche identitaire.

Les données que vous déterminerez sont celles dont vous avez besoin pour votre histoire. Bien sûr, vous pouvez ajouter des éléments  secondaires qui n’entreront pas en compte dans le déroulement de ce que vous raconterez;  à vous de voir si cela apporte « un plus » ; par exemple, j’ai lu un jour un livre dont la première moitié parlait et commentait les capacités extraordinaires d’un personnage clef pour constater, au terme de l’histoire, qu’il ne fut pas nécessaire de les utiliser. Nous étions tenus en haleine afin  de savoir s’il utiliserait ses pouvoirs extraordinaires et, malheureusement ou non, il n’en fut rien..

Établissez la fiche d’identité pour chacun des personnages jouant un rôle dans votre histoire

En répondant à ces quelques questions, vous aurez déjà une idée de ce que vous avez besoin. De quoi traite votre histoire ? De qui avez-vous besoin  pour votre roman ?

Vous n’avez pas d’idées ? Enjolivez-le de personnes que vous connaissez : dans le corps de « A », mettez-y la personnalité de « B » et donnez-lui le nom de « C ».  C’est le cas de tous les personnages de chacun de mes livres.   Ce ne sont pas spécialement des personnes vivant dans la même habitation (il vaut mieux !!) : ils peuvent venir du monde professionnel,  de vos loisirs, de rencontres spécifiques ou accidentelles, etc…

Si vous désirez, malgré tout, nommer une personne particulière, demandez-lui son autorisation, verbalement d’abord, par écrit, ensuite, afin de vous protéger de poursuites judiciaires éventuelles.  Ne haussez pas les épaule en vous disant « Cela ne m’arrivera pas ». En ce qui me concerne, j’avais l’autorisation verbale d’une personne qui m’était très chère. Lorsque le livre est sorti,  j’ai dû détruire tout le stock de livres déjà imprimés : elle travaillait dans un bureau d’avocats. C’est le même principe pour le lieu, s’il s’agit d’une propriété privée clairement reconnaissable.

Lorsque vous écrivez votre roman, prenez corps et âme, la place du personnage que vous interprétez

Comme l’a si bien réalisé Walt Disney, avec Mickey,  égissez comme si vous étiez votre propre personnage. De temps en temps, vous sortez du tableau et vous l’observez pour voir si tout concorde.

C’est pour cela que certains acteurs en sont d’excellents, et d’autres, pas : ils intègrent le personnage qu’ils interptètent : ils prennent corps avec lui. 

Comment je crée mes personnages ? Qui sont-ils ?

Avant d’écrire des romans, je le faisais pour la scène. A l’image des « grands » de l’humour tels que Fernand Reynaud, Raymond Devos, et des plus récents comme François Pirette, mes personnages sont issus de mon entourage professionnel  et, à certains égards, privés voire familiaux. Dans un roman du genre Aventure, Policier ou Thriller, il vous faut un « mauvais ». Une personne qui est même très, très, très mauvaise. C’est cette personne qui vous trahira ou que sais-je. Pour cel, les films américains, surtout les séries, sont un excellent sujet d’inspiration.  Dès lors, qui sera votre super « mauvais » ?  Imaginez que ce soit telle personne de votre famille qui a trahi la cause commune ou tel autre collègue en qui vous aviez une totale confiance et qui … d’accord ?

Jusque là, pas de soucis ?  Alors comment faire ?

Très simple en soi. A mois d’écrire un roman psychologique (ce qui est risqué), j’évite de donner trop de détails physiques et/ou psychologiques de la personne. Pour chacun de vos personnages principaux, vous prenez trois critères différents pour en former un : le physique de « A » (Patrick), l’intelligence ou la débrouillardise de « B » (Brigitte) , et le prénom de « C » (collègue Fabian ou le voisin Rémy…  ) représentent votre héros « F »(Donovan).

Personnellement, ce travail est effectué pour trois, voire quatre personnes maximums et, ayant ces personnes en tête, je n’ai plus à me tracasser pour écrire. Si d’aventure, vous croisez une personne dont l’attitude ou sa tenue vestimentaire l’interpelle, allez-y surtout si ledit personnage jouera plus tard un rôle dans votre intrigue, pour ou contre votre héros. 

Soyez curieux, sans trop le montrer, des tenues vestimentaires des hommes comme des femmes, comme de leurs beautés naturelles. Pourquoi ne pourriez-vous pas être un homme qui trouve que tel passant, dans la rue, a les traits particulièrement raffinés  et s’habille de manière ultra chic, sans pour autant passer pour un homosexuel ?

L’échelle de temps

Que vous racontiez votre vie ou une histoire, il est utile de créer une échelle de temps.

prendre une page de format A4 dans le sens « paysage »

En ce qui me concerne, j’ai récupéré une vieille carte géographique d’école et, à chaque nouveau projet, j’y installe des feuilles A4 ou A5.

Sur base de votre mindmap (ou carte de l’esprit), vous créez votre échelle de temps et vous y inscrivez les événements majeurs.
Vous pourriez, aussi, commencer par ces événements majeurs et y placer les dates par après. L’idée est de ne pas se limiter par un défaut de mémoire : la date et/ou l’événement remontera bien un moment donné à la surface…

Dans ce cadre-ci, le projet relate l’histoire de 3 personnages dont leurs routes vont se croiser.

démarrer à partir du mindmap (la carte de l’esprit) ou l’échelle de temps ?

Franchement, je pense que c’est « kif-kif ». En effet, vous pourriez très bien imaginer pour votre biographie, par exemple, partir sur la base d’une échelle de temps : vous y inscrivez 1 ou 2 ou plus d’événements et/ou dates qui serviront de bas à votre travail; Vous compléterez alors le mindmap.
C’est comme dans le cochon : tout et bon

Moi ——*—————-*——————-*—————
Date Naissanc

Au travail

Maintenant, prenez une feuille et tirez 1 ou plusieurs traits en parallèle et fixez-y des dates et/ou des événements (Evt.A, Evt.B, ….)

Bon travail

La correction de votre livre, moment important et essentiel

Ne vous figurez pas que le seul correcteur orthographique du traitement de texte utilisé pour votre roman soit suffisant.

Tout d’abord parce que tous les mots ne la langue française ne s’y trouvent pas; ensuite, il y a le problème des accords, en nombre comme en genre; enfin, la lus terrible : la conjugaison : « que j’ai » ou « que j’aie » ? ou « encore eût-il fallu que je le susse » …Aah, mais ne devrions-nous pas dire « sache » au lieu de « susse » ? Des exemples, il y en a des centaines, voire des milliers …

Dans les gammes de fautes, nous pouvons retrouver les erreurs de syntaxe, les fautes d’accord ou d’orthographe, mais aussi celles liées à votre clavier (vous tapez trop vite et certaine lettres changent de position dans le mot…) ou celles liées à la fatigue …

Certaines personnes s’arrêtent de lire après trois fautes; d’autres ne les remarquent même pas.

corriger soi-même

Il vaut toujours mieux faire appel à un service extérieur. Même si vous êtes super fort en français, vous passerez au-dessus de vos propres fautes. Pourquoi ? Pour deux raisons essentielles : certaines sont imputables à votre connaissance de la langue de Verlaine; autre ment dit, si votre connaissance est erronée, vous ne verrez jamais l’erreur. La deuxième vient du fait que vous avez écrit votre propre texte, du coup, vous connaissez votre histoire sur le bout des doigts (ou presque). Au final, vous survolerez votre oeuvre et ne verrez même pas les plus flagrantes.

corriger par des ami(e)s ou de la famille

Etes-vous sûr(e) des connaissances de la, ou des, personne(s) à qui vous confiez votre oeuvre ? Probablement la moins bonne chose à faire car ces personnes ont un lien, ne fut-ce que émotionnel avec vous et, dès lors, ne verront sans doute ou n’oseront pas plus vous faire part de votre « lamentable » orthographe. Un certitude : ils corrigeront et se feront une idée de votre talent et n’oseront peut-être pas vous signaler des problèmes récurrents quant à votre écriture.

Faire appel à un service extérieur.

Voilà le mieux que vous ayez à faire.

Heureusement, il existe plusieurs solutions : soit vous cherchez sur la toile, des personnes qui vous offrent ce service, soit vous cherchez dans des correcteurs en « freelance ». Dans ce cas, comme certains achats en ligne, contrôlez le nombre d’étoiles que le correcteur a reçu

A lire, cet été

Fabian Moss nous livre sa vie de voyant et ses débuts difficiles, car les visions le prenaient à tout instant de la journée comme de la nuit.
De son combat pour canaliser cette énergie à ses voyances hors normes, en passant pas ses premiers pas comme professionnel dans la voyance, il nous parle, aussi, de ce qu’est la médiumnité, la voyance et de ce que vous pouvez attendre d’une consultation comme de l’expert.
Fabian vous offre, également, un formidable cadeau.
A vous de le découvrir …

Le livre est disponible en livre broché et en livre numérique.
Vous pouvez dès à présent le commander, via le formulaire de contact.

En outre, Fabian est en Belgique maintenant, en septembre et octobre, pour une série de conférences(voir l’affiche sur cette page).
A très bientôt

Barnett

Plein de nouveaux projets pour cette nouvelle année ..

L’avantage, et l’inconvénient, d’avoir son anniversaire si près de le nouvelle année est de pouvoir mettre ses projets en rapport avec l’année civile.

Une croisière pour le lâcher prise

Et, cette année, j’ai eu la grande opportunité de partir en croisière en Méditerranée.
Oui, je sais, cela peut paraître « bateau »; mais c’est comme cela.

Rien de tel pour un lâcher prise en bonne et due forme !!

Parfait, on peut se remettre d’autant mieux au travail…
Aussi, c’est avec un immense plaisir que nous pouvons vous annoncer l’arrivée très prochaine de différents livres, dont …

Un voyant raconte

Fabian Moss fut, il y a une bonne vingtaine d’années, le voyant de RTL.
S’il est parti sous d’autres cieux, parfaire ses connaissances quantiques, il nous revient avec un livre qui nous explique, non seulement son parcours, avec la découverte pendant sa tendre enfance de son don et de quelques révélations faites en public, mais aussi du travail de voyant, de sa perception en tant que professionnel. C’est presque un cours de déontologie qu’il nous livre, avec les limites qu’il se donne et/ou données par la voyance elle-même.

Ce livre paraîtra dans le courant de mars de cette année 2017 pour la version numérique; un peu plus tard, pour la version papier.

D’autres surprises

Telles que la suite du Plan diabolique arrivera aussi très bientôt. Elle est prévue pour le début de l’été.

En attendant, nous vous proposerons de vous aider dans l’élaboration de votre oeuvre.

A très bientôt

Barnett